Qui sommes-nous ?

Qui sommes-nous ?

Dès l'arrivée des psychologues à Pôle emploi, les atteintes sur le métier se sont révélées ; le combat sur les portes est à ce titre emblématique. Des collectifs régionaux se sont rapidement mis en place et organisés pour combattre ces attaques. Différentes régions ont établi des contacts afin de partager leurs réflexions et actions, et la nécessité de s'organiser en Collectif national a naturellement vu le jour.
Au fil des luttes, des alertes, des courriers argumentés, le Collectif national a jugé nécessaire de se doter d’une structure pouvant représenter les psychologues officiellement, amplifier leurs actions et ester en justice : l’association « Pôle Psycho » est donc créée le 1er octobre 2015.

Historique de la psychologie et des psychologues à Pôle Emploi  - France Travail
La fusion ANPE-ASSEDIC (12/2008) a précédé de quelques mois le transfert des psychologues de l’AFPA (Association pour la Formation Professionnelle des Adultes, placée sous la tutelle du Ministère du Travail) vers Pôle Emploi. Celui-ci a été rendu obligatoire par la loi du 24 novembre 2009 et devait garantir à l’identique l’accomplissement des missions d’orientation professionnelle des demandeurs d’emploi vers la formation. Ainsi, environ 920 salariés, dont 611 psychologues de l'AFPA ont été transférés à Pôle Emploi. 
Ce transfert a pris effet le 1er avril 2010. Alors que nous venions de l’AFPA, nous arrivions dans une entreprise nouvellement créée, composée de salariés venant de l’ASSEDIC ou de l’ANPE, porteurs de cultures d’entreprise spécifiques, peu solubles dans le creuset du nouvel établissement public créé dans une certaine précipitation. Notre transfert n’était pas vraiment souhaité par la direction de PE. 

Au-delà du transfert des personnels, s’est posée la question du transfert des missions : que faire avec les psychologues au sein de PE ? La question se posait bel et bien à la Direction Générale qui, en amont, ne s’était pas trop préoccupée de ce que les psychologues pourraient apporter au sein des structures pour le public. Une piste de réponse a rapidement émergé : celle de la dilution du métier de psychologue dans celui de conseiller. Notre travail, nos missions, nos compétences ne semblaient pas pouvoir être appréhendés autrement qu’en miroir de ceux de conseillers. C’est ainsi que parmi toutes les activités des psychologues AFPA qui avaient été les nôtres, seules les activités « d’orientation vers la formation » ont été retenues. 

Il a ainsi fallu, dès le départ, rappeler notre statut de cadre – qui confère des responsabilités dans la conduite des missions et une certaine autonomie de travail – auquel devait par ailleurs correspondre le maintien de notre salaire. L’accord d’adaptation qui a suivi a permis quelques garanties – et non des moindres – comme l’intégration du Code de déontologie des psychologues à la Convention Collective Nationale de PE. Par contre, les questions liées aux spécificités de notre métier n’ont pas été concrètement déclinées dans nos conditions de travail. Ainsi, la question de portes fermant des bureaux dédiés, permettant un accueil en toute confidentialité, et en lien avec l’application de ce même Code, a fait l’objet d’un combat. L’obligation de ce cadre s’est imposée comme fondamentale face à ce que nous considérions comme une négation de notre métier et de notre travail psychologique auprès des demandeurs d’emploi. Les portes devenaient pour nous le symbole de notre combat pour préserver notre métier et le droit des personnes à s’exprimer en toute sécurité. 

D’importantes difficultés institutionnelles (organisation gestionnaire du travail, néo management, Lean management, etc.), continuent de s’exercer.

Nous continuons régulièrement à nous mobiliser, au quotidien dans l’exercice de notre travail, au travers de nos actes relevant de notre statut, de notre pratique et de notre posture et dans nos revendications collectives via le Collectif national des psychologues, avec l'appui éventuel de notre association Pôle Psycho.

Des psychologues à France Travail pour quoi faire ?

Le prescrit :
S'inscrivant dans une doctrine gestionnaire du travail, la direction générale ne connait pas notre métier et ne veut pas le reconnaître, comme elle ne souhaite pas définir et reconnaître tous les autres métiers qu'elle emploie. En effet, à Pôle Emploi, seuls les "emplois du référentiel" existent. Les "emplois" étant regroupés dans des "métiers" faisant eux même partie de "filières". Les vrais métiers sont quant à eux niés, effacés !
Pour la DG, les psychologues ont 3 grandes missions. La première, tournée vers les demandeurs d'emploi, mais exclusivement avec le prisme du projet professionnel et éventuellement de la formation. La seconde, dirigée vers l'entreprise mais dans une vision purement mécaniste du service rendu. Et la troisième, volontairement floue ("Contribue au développement de la compétence collective en orientation") et que nous considérons plutôt comme tournée vers les Conseillers.

A la lecture du référentiel, on voit bien que la DG méconnaît notre métier et l'aborde avec une visée "utilisatrice" ou "instrumentaliste". Par ailleurs, elle définit l'emploi de psychologue du travail uniquement comme "une spécialisation" en matière d'orientation : les psychologues sont des "spécialistes" de l'orientation et les conseillers des "généralistes" de cette même orientation.

A partir de cette définition, la DG a construit pour les demandeurs d'emploi une "offre de services" déclinée soit en "prestations", soit en "méthode" ou "méthodologie d'intervention" (les "ateliers collectifs"). Par conséquent, au travers de cette logique gestionnaire, la DG dépossède d'emblée les psychologues d'un des fondements de sa profession : la responsabilité et l'autonomie (Principe 3 du code de déontologie).

Le réel :

Simple : dans le travail réel, les psychologues interviennent en appui des demandeurs d'emploi, des conseillers et des entreprises, toujours en complémentarité des conseillers accompagnement ou entreprise et quel que soit le champ d'intervention ; leur action porte toujours sur des variables psychologiques. Les psychologues sont donc bel et bien des spécialistes… en psychologie ! A priori, la Direction Générale ne le sait pas… Par conséquent, pour pouvoir répondre aux besoins des conseillers et donc des demandeurs d'emploi, les psychologues « trichent » avec le prescrit : ils sont dans « le réel du travail » et dans l’ « intelligence rusée » (cf. approche en psychodynamique du travail). Mais cela a des conséquences : le réel n'existe pas et des conflits de valeurs apparaissent.

Naissance de Collectifs Métier
Pour faire valoir nos positions, il a fallu nous organiser. Dès l’été 2010, des collectifs de psychologues et d’Assistantes Techniques d’Orientation (ATO) ont vu le jour dans plusieurs régions (Alsace, IDF, Midi-Pyrénées, Nord-Pas de calais, PACA). Petit à petit, grâce à l’existence de ces collectifs régionaux, des liens entretenus entre eux via les réseaux sociaux et des Rencontres Nationales bisannuelles auxquelles assistent plus de 80 psychologues de différentes régions, nous avons pu obtenir quelques avancées significatives. Nous sommes en outre soutenus par quelques organisations syndicales. Malheureusement, les avancées ne sont pas uniformes sur le territoire, ni pérennes.

La souffrance au travail était réelle, attestée par des cabinets d’expertise nommés par des Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) dans plusieurs régions. Ceux-ci concluaient à un «risque avéré, grave et imminent » pour la santé des salariés. Leurs préconisations n’étaient pas suivies. 

Pour alerter les décideurs, du niveau local au national, et proposer des évolutions, nous avons mis en place de nombreuses initiatives : interventions via IRP – Instances Représentatives du Personnel – , pétitions, rédaction d’un manifeste national des psychologues adressé à la direction, recours à des avocats – y compris pour ester en justice – , à la Médecine et à l’Inspection du Travail, alertes auprès de différentes associations professionnelles et d’universitaires, manifestations, grèves largement suivies. 

Notre réflexion au sein du collectif porte sur la différence entre travail prescrit et travail réel. A France Travail, notre travail vient refléter cette dialectique ; les missions ayant été impactées très fortement par les conditions du transfert et par la non reconnaissance de notre métier. De plus, les organisations de travail mises en place et imposées par Pôle Emploi pour l’accompagnement des demandeurs d’emploi sont peu compatibles avec nos exigences déontologiques : malgré les portes, bureaux non confidentiels, chiffrages, prestations en décalage avec le réel, dotation hétérogène d'outils selon les choix régionaux, injonctions pour se rendre aux rendez-vous avec les psychologues / menaces de radiation des DE lorsqu’ils ne se présentaient pas aux "convocations", conditions de travail des psychologues eux-mêmes, obstacles au travail en équipe, absence de formation continue spécifique…Ces organisations de travail sont différentes selon les régions et susceptibles d’être modifiées régulièrement selon les préceptes de management en perpétuelle évolution. 

Les difficultés de terrain ne sont pas uniformes. En effet, il existe des lieux où nos collègues peuvent exercer leurs missions de psychologue. Ces lieux sont soit géographiquement circonscrits, soit liés à des personnes qui ont su s’imposer ou ont pu les mettre en œuvre pendant des prestations spécifiques. « Le contexte d’exercice est destructeur, mais dans le cadre de mon activité quotidienne, je fais un véritable travail de psychologue, bien plus qu’à l’AFPA » dit une collègue. Ce témoignage rend également compte de la réalité des besoins en termes d’accompagnement par les psychologues pour les Demandeur.ses d’Emploi. Nos collègues conseillers, comme les personnes en situation de recherche d’emploi, qui ont eu l’occasion de travailler avec nous en sont convaincus… 

Et aujourd’hui, où en sommes-nous ?
Depuis plus de 10 ans, nos engagements professionnels auprès des publics, nos relations avec nos collègues Conseillères et Conseillers sur le terrain, nos combats massivement suivis (63% de grévistes le 17 juin 2014, 80% le 29 septembre 2015) pour un véritable respect de notre déontologie et nos propositions nous ont permis de « limiter la casse » : obtention de bureaux fermés, signature de nos documents, rejet d’une grille de classification défavorable aux psychologues nouvellement embauchés. La vigilance reste de mise pour mener d’autres combats, notamment la confidentialité de nos entretiens en isolant phoniquement nos bureaux, le respect du volontariat des personnes accueillies, la non-radiation pour absence à un rendez-vous, le libre accès au psychologue par tout DE…

Les avancées ne sont ni acquises définitivement, ni mises en œuvre partout.

C'est pourquoi, nous devons continuer à lutter collectivement avec notre collectif et notre association «POLE-PSYCHO ».

Statuts et adhésion

Article 1er - Dénomination
Il est fondé entre les adhérent.e.s aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre : “POLE-PSYCHO”.

Article 2 - Objet
Cette association a pour objet de :
• soutenir les psychologues dans l’exercice de leur pratique, œuvrer pour le développement et la promotion de la psychologie,
• faire appliquer et défendre les principes définis dans le Code de déontologie des psychologues formant l’annexe 1 aux présents statuts, au sein de Pôle emploi et plus largement au sein des services publics de l’emploi et de l’orientation professionnelle.
Elle constitue, à ce titre, une association de promotion, de reconnaissance et de défense de la profession de psychologue.

Article 3 - Durée
La durée de l’association est indéterminée. Elle pourra être dissoute par décision de l’Assemblée Générale extraordinaire dans les conditions prévue à l’article 15.

Article 4 - Siège Social
Le siège social est domicilié au 26 allée des Genêts à Guyancourt (78280)
Il pourra être transféré par simple décision du Conseil d’Administration.

Article 5 - Les Membres
L’association se compose :
1/ de membres actifs. Pour être membre actif, il est nécessaire d’être psychologue en exercice au sein de Pôle-Emploi, d’être agréé par le bureau qui statue souverainement sur les demandes présentées, et d’être à jour de sa cotisation. Les membres actifs s’engagent à respecter les principes définis dans l’article 2 des présents statuts et versent annuellement une cotisation dont le montant est fixé par l’Assemblée Générale.
2/ de membres bienfaiteurs. Ceux-ci versent annuellement une cotisation de soutien dont le montant minimum est fixé par l’Assemblée Générale.
3/ de membres d’honneur. Ceux-ci sont dispensés de cotisation et cooptés par le conseil d’administration en raison des services qu’ils ont rendus ou sont amenés à rendre à l’association.

Article 6 - Adhésion
Toute adhésion doit être réalisée via le site HELLO ASSO.

Article 7 - Radiation
La qualité de membre se perd par :
1/ la démission
2/ le décès
3/ la radiation prononcée par le Conseil d’Administration pour non-paiement de la cotisation ou pour motif grave, l’intéressé ayant été invité à s’expliquer devant le Bureau.

Article 8 - Ressources
Les ressources de l’association comprennent :
● Le montant des cotisations,
● Les dons manuels,
● Le produit des ventes et rétributions pour services rendus,
● Les subventions et toutes autres ressources non interdites par les lois et règlements en vigueur.

Article 9 - Conseil d’Administration
L’association est administrée par un Conseil dont le nombre de membres est fixé par l’Assemblée Générale. Il possède les pouvoirs les plus étendus pour gérer et administrer l’association.
Les administrateurs sont élus par l’Assemblée Générale pour 2 ans. Ces membres sont rééligibles. En cas de vacance, et si besoin est, le Conseil pourvoit provisoirement au remplacement de ses membres. Il est procédé à leur remplacement définitif par la plus prochaine Assemblée Générale. Les pouvoirs des membres ainsi élus prennent fin à l’époque où devrait normalement expirer le mandat des membres remplacés.
Le Conseil d’Administration se réunit autant de fois que le Bureau l’estime utile sur convocation de la Présidente ou à la demande d’au moins la moitié de ses membres. Dans le cas où la Présidente, suite à la demande qui lui en serait faite par la moitié des membres au moins, ne réunit pas le Conseil, la convocation peut être faite par le Secrétaire. Les décisions sont prises à la majorité des voix ; en cas de partage, un 2ème scrutin est nécessaire ; s’il y a encore partage, alors la voix de la Présidente est prépondérante.

Article 10 - Bureau
Le Bureau est l’organe d’exécution des décisions. Le Conseil d’Administration peut déléguer au Bureau certaines de ses attributions.
Les membres du Bureau sont élus pour une durée de 2 ans au scrutin majoritaire, lors d’une Assemblée Générale. Le Bureau est composé d’un(e) Président(e), d’un(e) Secrétaire, d’un(e) Trésorier(ère) et de tout autre titulaire de poste jugé nécessaire.
Le Bureau se réunit chaque fois que nécessaire, sur la convocation qui lui est faite par la Présidente ou à la demande de la moitié des membres qui le composent. Il veille au fonctionnement de l’association en conformité avec les orientations générales définies par l’Assemblée Générale et en application des décisions du Conseil d’Administration.
La Présidente réunit et préside le Conseil d’Administration et le Bureau. La Présidente représente l’association dans tous les actes de la vie civile et est investi de tous pouvoirs à cet effet, il a notamment qualité pour ester en justice au nom de l’association, tant en demande qu’en défense, former tous appels ou pouvoirs et consentir toutes transactions. La Présidente ordonne les dépenses.
Le Secrétaire est chargé de la correspondance statutaire. Il rédige et conserve les procès-verbaux des instances statutaires.
Le Trésorier tient les comptes de l’association.

Article 11 - Assemblée Générale
Elle se réunit a minima une fois par an. L’Assemblée Générale de l’association comprend tous les membres actifs de l’association, à jour de leur cotisation. Ceux-ci peuvent se faire représenter par un autre membre de l’association faisant partie de l’Assemblée Générale. Nul ne peut être titulaire de plus de 10 mandats. Elle est convoquée 1 mois avant la date fixée à la diligence du Président de l’association. Les décisions sont prises à la majorité simple. La Présidente, assistée des membres du Bureau, préside l’Assemblée Générale.

La convocation adressée aux membres de l’association doit préciser l’ordre du jour qui comprend obligatoirement :
1/ un compte-rendu moral ou d’activité présenté par la Présidente ou le Secrétaire ;
2/ un compte-rendu financier présenté par le Trésorier ;
3/ s’il y a lieu, le renouvellement des membres du Conseil d’Administration. L’ordre du jour pourra en outre comprendre des questions diverses.

Article 12 - Registres
En plus du registre réglementaire prévu par l’article 6 du décret du 16 août 1901, il sera tenu :
• un registre des délibérations de l’Assemblée Générale ;
• un registre des délibérations du Bureau et du Conseil d’Administration.

Article 13 - Règlement intérieur
Un règlement intérieur pourra être établi par le Conseil d’Administration et soumis à l’approbation de l’Assemblée Générale. Il apportera des précisions aux statuts, notamment sur les points qui ont trait à l’administration interne de l’association et sur la représentation des membres empêchés d’assister à l’Assemblée Générale. Il ne pourra comprendre aucune disposition contraire aux statuts.

Article 14 - Assemblée générale Extraordinaire
En dehors des Assemblées Générales ordinaires, la Présidente, à son initiative ou à la demande de la moitié du conseil d’administration ou du quart des membres actifs, pourra convoquer une Assemblée Générale Extraordinaire dans les conditions prévues à l’article 11 des présents statuts.
Si la Présidente ne convoque pas dans un délai d’1 mois l’Assemblée Générale Extraordinaire qui lui est demandée dans les conditions ci-dessus, tout membre du bureau, voire du Conseil d’Administration peut alors se substituer à lui. Ne pourront être débattues que les questions prévues à l’ordre du jour.

Article 15 - Modification des statuts et dissolution de l’association
Les modifications des statuts et la dissolution de l’association sont obligatoirement soumises à une Assemblée Générale Extraordinaire convoquée spécialement à cet effet comme il est dit à l’article 14 ci-dessus. La dissolution ne peut être prononcée que si l’Assemblée Générale comprend au moins la moitié des membres de l’association présents ou représentés. La décision doit être prise à la majorité des suffrages exprimés. Si le quorum n’est pas atteint, une seconde Assemblée Générale Extraordinaire est alors convoquée dans les 15 jours qui suivent : elle peut délibérer valablement quel que soit le nombre de membres présents ou représentés.
L’Assemblée Générale Extraordinaire de dissolution décide de la dévolution des biens de l’association conformément aux dispositions des articles 9 de la loi du 1er juillet 1901 et du décret du 16 août 1901.

Les présents statuts ont été approuvés par l’Assemblée constitutive tenue à Paris le 26 janvier 2023.

Fait en triple exemplaire à Paris le 26 janvier 2023


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